IVERMECTINE – Dr Pierre Kory – un traitement qui stoppe la réplication virale à tous les stades de la maladie

Interview du Dr. Pierre Kory par France Soir après son audition devant le sénat américain ( voir synthèse plus bas)

 

Il y est question de prophylaxie et du protocole de traitement ambulatoire précoce pour le Corona COVID-19.
L’étude présentée a été effectuée avec des médecins internationaux (norvégiens, italiens, argentins, britanniques réunis dans l’association FLCCC (Front Line Covid-19 Critical Care Alliance).
Un prochain debriefing est prévu avec les Dr. Zelenko et le Dr. Derwand.

Dans la foulée de cette interview, nous comprenons à quel point les médias MainStream comme « FranceInfo », « Facebook », etc… sont impliqués et accusent une complicité silencieuse évidente dans la diffusion d’informations fallacieuses à propos du traitement à l’ivermectine qui traite efficacement les infections au Sars-Cov 2.

Les sources qui nous ont permis de réaliser la synthèse de cette interview sont :

• http://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/video-debriefing-dr-kory qui constitue la transcription de l’entretien dans son intégralité traduit de l’anglais en français ;
• https://www.youtube.com/watch?v=blpV5QDJrn4&feature=youtu.be&fbclid=IwAR3WK66QEoIF2hCpxdyqdQvMqaxKYvtG51Pa3f0Vky7nU2pI5t-xdmqjY5E qui reprend l’interview du Dr. Pierre Kory réalisée par « FranceSoir », interview parue sur YouTube le 12/12/2020 et consultée par plus de 34.000 internautes.

Synthèse :

Durant l’interview, le journaliste pose respectueusement à Monsieur Pierre Kory, médecin urgentiste américain en unité de soins intensifs et pneumologue, les questions relatives :

• à la pseudo-pandémie,
• aux patients ainsi qu’à leurs relations avec leur médecin,
• à la collaboration de ce docteur en médecine avec les confrères et avec les scientifiques internationaux,
• aux traitements ainsi qu’aux résultats,
• à la communication avec les grandes institutions de santé ainsi qu’au partage de l’information avec d’autres médecins dans le contexte de l’urgence d’un traitement en phase précoce,
• à la communication avec les médias.

 

• La pseudo-pandémie du Sars-Cov-2 (= Corona COVID-19) (pseudo vient du grec et signifie mensonge)

La pseudo-pandémie a été causée par la contagiosité du virus Sars-Cov-2, qui, aux yeux du Dr. Pierre Kory, attaque mortellement les poumons des patients affectés.
Dès son début, elle a motivé ce médecin non seulement à en parler au moyen d’un site avec ses collègues de Norvège, du Royaume-Uni, avec Paul Marik d’Afrique du sud, avec Umberto Meduri d’Italie ainsi qu’avec des personnes concernées en Chine tant humainement que professionnellement par la propagation de ce pathogène, mais il a également témoigné devant le Sénat des Etats-Unis.

 

•  L’état d’esprit des patients durant la première partie de l’année

En sa qualité de médecin urgentiste, le Dr. Pierre Kory a constaté l’arrivée d’un nombre de personnes dont les poumons étaient défaillants et présentaient des insuffisances respiratoires sévères.
Causées par une oxygénation insuffisante, le personnel médical a eu recours à du matériel divers tel que des appareils à haut débit d’oxygène, des ventilateurs non invasifs, des sédatifs pour traiter l’anxiété des patients voire les aider sous ventilation mécanique à ce qu’ils ne fassent pas des mouvements qui les désynchronisent avec leur respirateur artificiel.
Dans ces conditions trop tardives, les thérapies existantes et pourtant salvatrices sont d’autant moins efficaces que les personnes atteintes sont âgées, en surpoids, diabétiques, afro-américains ou hispaniques.

 

• La collaboration avec les confrères médecins et avec les scientifiques internationaux

Le Dr. Pierre Kory exprime son souci de n’émettre une opinion qu’à la condition qu’elle soit partagée avec le groupe national et international de médecins et d’experts en soins intensifs.
Depuis le début de l’épidémie, ils lisent les articles scientifiques et les interprètent dans la concertation pour élaborer des protocoles de soins au chevet du patient.
Désormais convaincu de la nécessité absolue de traiter les patients précocement, le Dr. Pierre Kory clame haut et fort que ses collègues comme lui-même ne cherchent pas une thérapie basée sur une nouveauté pharmaceutique.
Dans le présent contexte, il prône instamment auprès du Sénat américain la prescription de l’ivermectine dès l’apparition des premiers symptômes en conséquence de quoi, les patients ne risqueront plus de saturer les réanimations avec des facteurs de morbidité importants.

 

• Les traitements et leur efficacité

A la demande de son interlocuteur, le Dr. Pierre Kory parle de deux protocoles disponibles sur le site : flccc.net, protocoles élaborés grâce à une organisation à but non lucratif de médecins qui tentent de comprendre et de traiter cette maladie.

Le premier protocole destiné au milieu hospitalier et le second ayant trait à la prévention et au traitement précoce sont basés sur la combinaison d’un certain nombre de médicaments essentiels.

Des données recueillies grâce aux nombreuses études menées pour évaluer les vertus non seulement de l’Ivermectine mais également de la vitamine D, de la vitamine C, du Zinc, de la Quercétine et de l’aspirine ainsi que de celles acquises récemment sur la maladie Corona COVID-19, il appert que toutes ces substances vitaminiques et médicamenteuses en concentrations moins importantes au sein d’un organisme le rend plus vulnérable à la mortalité liée à l’affection causée par le virus Sars-Cov-2.

En l’occurrence ici, force a été donnée de constater au Dr. Pierre Kory et à ses confrères que l’ivermectine semble être un médicament miracle en mesure d’inhiber puissamment l’action virale et par conséquent de limiter fortement une épidémie au Sars-Cov-2 à la condition que le traitement soit précoce.

En tout état de cause, l’Ivermectine stoppe la réplication virale à tous les stades de la maladie.

Selon les médecins de terrain, et donc en contact permanent avec des patients, il faut savoir que le virus n’est pas ce qui nous tue car à l’autopsie, il n’y a pas de virus présent dans le tissu pulmonaire endommagé.

En effet, ce qui tue le patient contaminé, c’est la réaction inflammatoire causée par l’ARN viral : ce sont les débris de ce virus qui sont à l’origine des réactions inflammatoires pulmonaires que les médecins s’appliquent et réussissent à contrôler chez les patients grâce à l’ivermectine, qui semble être, de surcroît et à la surprise générale, un anti-inflammatoire.

Quatre essais randomisés l’ont démontré et notamment le Dr. Hector Carvallo et son équipe dans ses essais à l’ivermectine en Argentine effectués au mois de décembre 2019 !

Selon le Dr. Pierre Kory, l’essentiel du message à diffuser mondialement consiste à administrer préventivement aux personnes le médicament, l’ivermectine, avant que la maladie ne se déclare.

Car, l’ivermectine inhibe la capacité du virus à attaquer l’organisme, à s’y répliquer et réduit significativement les cas d’hospitalisation comme des décès.

 

• La communication avec les grandes institutions de santé

Le Dr. Pierre Kory exprime avec nuance son désarroi puisque la bonne diffusion de telles informations scientifiquement fondées est entravée parce qu’elle semble subordonnée au monopole exercé au détriment du patient par les grandes institutions de santé.

En effet, comme dans le cas présent FranceSoir, il loue la presse indépendante dans son rôle essentiel lorsqu’il regrette qu’en s’appuyant exclusivement sur les agences officielles, seules dépositaires des informations de santé, les autorités, en concubinage avec la presse mainstream dans ses actions de désinformation, ne relayent qu’imparfaitement voire taisent par la censure les bonnes informations dans le monde entier.

Derrière les preuves cumulées grâce à la pratique de multiples thérapies, le Dr. Pierre Kory insiste sur la nécessité de parler de l’étude randomisée, menée récemment en Argentine par le Dr. Hector Carvallo, d’après laquelle une thérapie, prévoyant la prescription de pillules d’ivermectine à consommer une fois par semaine, à raison de 12mg, est si systématique, reproductible et bénéfique à toutes les étapes de cette maladie.

Ainsi, dans l’échantillon de 1.200 soignants volontaires, 800 ont été désignés à respecter cette thérapie durant 10 semaines.
Or, parmi les 400 soignants, qui n’ont pas consommé l’ivermectine, 237 personnes, soit 58% des personnes ont été infectés au COVID-19.

Le Dr. Pierre Kory déplore enfin que le décès de quelques personnes parmi les 400 soignants, qui n’ont pas consommé l’ivermectine, n’ait pas été mentionné dans cette étude.

Selon le Dr. Pierre Kory et ses confrères de terrain, les études observationnelles bien conçues valent celles qui sont randomisées en tenant compte des facteurs de confusion de morbidité dus au diabète, à l’obésité, au surpoids et à l’âge.

Il poursuit en disant que le monde et le domaine de la médecine reste cependant convaincu de la nécessité d’essais randomisés afin de découvrir une vérité scientifique, ce qui est faux.

Etant donnée la lourde procédure de diffusion des informations à laquelle le Dr. Paul (Ellis) Marik est soumise en sa qualité de leader intellectuel du groupe, auquel appartient le Dr. Pierre Kory, et, malgré la conférence d’il y a environ un mois à propos des vertus de l’ivermectine sur la chaîne YouTube, il est remarquable que la diffusion des bonnes informations est difficile à tel point que le manuscrit rédigé et relu par ce dernier, il y a 10 jours, manuscrit soumis à une revue pour un examen par les pairs, a été rejeté par les éditeurs comme cela arrive fréquemment et à fortiori en période d’épidémie.

Selon le Dr. Pierre Kory, cette étude aussi spectaculaire que celle du Dr. Hector Carvallo méritait dans l’urgence, malgré la confusion des médias dans le tri de leurs articles de presse et la faible écoute des lecteurs, que l’on sauve plus de vie grâce à la diffusion plus rapide de bonnes informations.

En revanche, le caractère supposé « imprévisible » de l’épidémie au Corona COVID-19 a, selon lui, changé les choses au cours des dernières 24 heures puisque son témoignage, sur certains sites, a fait apparemment près d’un million de vues, ce qui a mené sur le site web : flccc.net à de nombreuses lectures de son manuscrit basé sur des preuves solides au sujet du traitement de l’infection à l’ivermectine et de sa prévention efficaces déjà pratiqués par ailleurs dans de nombreuses régions du monde comme l’Uttar Pradesh, en Inde peuplé de 210 millions d’habitants, en Egypte, dans des régions en Amérique du Sud comme au Pérou et au Paraguay ainsi qu’au Mexique en Amérique centrale.

Cependant basé sur des faits scientifiques avérés par l’expérience et l’observation selon des sources fiables et non pas sur des opinions ou des croyances au niveau des Etats comme ceux de l’Europe et des Etats-Unis, ce traitement n’est toujours pas recommandé ce qui constitue, selon des scientifiques et des médecins indépendants comme le Dr. Pierre Kory, un aveu d’échec évident à l’image du débat à la fois tragique et éminemment politique au ton guerrier sur l’usage de l’hydroxychloroquine en France.

Alors qu’en vertu du serment d’Hippocrate les médecins reconnus sont censés soigner leurs patients, il semble d’après lui que des bénévoles et des volontaires, non-médecins, distribuent l’Ivermectine dans de nombreuses régions au Pérou.

 

• La communication avec les médias

Le Dr. Pierre Kory décrit que suite à son témoignage au Sénat comme au Congrès des Etats-Unis d’Amérique, le média « Fox New », pourtant réputé comme une machine propagandiste en faveur de la désinformation servant les intérêts de l’aile conservatrice du spectre politique, a sollicité une interview pour de très nombreux téléspectateurs.

Quoique démocrate, il estime de son devoir en tant que docteur en médecine de diffuser son savoir auprès de tous les médias dans le contexte d’une telle urgence sanitaire.

En dépit de tous les conflits d’intérêts d’ordre mercantile et ou politique, il estime essentiel que les autorités diffusent ce savoir, à propos de l’usage de l’Ivermectine, le plus largement possible dans les meilleurs délais et ce, au moyen des médias, parce que ce médicament change, au même titre que les vertus démontrés des corticostéroïdes, l’approche du traitement de cette affection en sauvant des vies.