Entretien avec  David Martin, docteur en médecine américain, Robert F Kennedy Jr, avocat américain, Judy A. Mikovits, Phd., virologue et ancienne chercheuse américaine et Rocco Galati, avocat canadien d’origine italienne spécialisé en droit constitutionnel

Le Dr David Martin nous explique en quoi les vaccins Pfizer et Moderna ne sont pas des vaccins mais des dispositifs médicaux conçus pour amener la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes. Et le Dr Judy A. Mikovits nous explique pourquoi et comment ces dispositifs médicaux peuvent créer une réaction auto-immune dans notre corps et causer la sclérose en plaques, la maladie de la Ligurie, la maladie d’Alzheimer, un cancer accéléré …

Retranscription de l’entretien :

David Martin

« Stipulons tout d’abord que ce n’est pas un vaccin : je veux dire que nous devons être vraiment clairs : on utilise le terme vaccin pour faire passer cette chose sous les exceptions de santé publique.
Il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse qui est livrée à une cellule.
Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour amener la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes.
Ce n’est pas un vaccin ; « vaccin » est en fait un terme légalement défini et c’est un terme légalement défini en vertu du droit de la santé publique.
Il s’agit d’un terme légalement défini selon les normes du CDC (aux USA : Center for Desease Control and Prevention) et de la FDA (aux USA : Food and Drug Administration).
Un vaccin doit spécifiquement, non seulement stimuler une immunité chez la personne qui le reçoit, mais il doit aussi perturber la transmission du virus.
Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit.
Ils ont été très clairs en disant que le brin d’ARNm, qui entre dans la cellule, n’est pas là pour arrêter la transmission : c’est un traitement.

Mais si ça avait été envisagé comme un traitement, ça n’aurait pas reçu l’attention favorable des autorités de santé publique parce qu’alors les gens auraient dit : « Eh bien, quels sont les autres traitements ? ».
L’utilisation du terme « vaccin » est inadmissible à la fois pour sa définition légale mais aussi parce que c’est effectivement un coup en traitre pour clore la possibilité d’avoir un débat ouvert et libre, parce qu’en utilisant le terme « vaccin », vous le placez dans une situation où vous pourriez être « anti » ou « pro » thérapie.
Mais si vous en aviez réellement parlé comme d’une thérapie, souvenez-vous, et les gens l’oublient, que Moderna a été créée comme une entreprise de chimiothérapie contre le cancer, et non comme un fabriquant de vaccins contre le SRAS.

Vous savez, si nous disions que nous allions donner aux gens une chimiothérapie prophylactique pour le cancer qu’ils n’ont pas, on vous rirait au nez parce que c’est une idée stupide et c’est exactement le cas dans lequel nous sommes : car, il s’agit d’un dispositif mécanique sous la forme d’un très petit paquet de technologie qui est inséré dans le système humain pour activer la cellule afin qu’elle devienne un site de fabrication d’agents pathogènes.
Et je refuse de stipuler, dans aucune conversation, qu’il s’agit en fait d’une question de vaccin.
La seule raison pour laquelle ce terme est utilisé, c’est pour pouvoir abuser de l’affaire « Jacobson » de 1905 qui a été déformée depuis qu’elle a été écrite.

Et si nous étions honnêtes, nous le qualifierions réellement parce que c’est un dispositif chimique pathogène qui est en fait destiné à déclencher une action de production d’un agent pathogène chimique dans une cellule.

Il s’agit d’un dispositif médical, et non d’un médicament, car il répond à la définition du CDRH ; ce n’est pas un système vivant, ce n’est pas un système biologique, c’est une technologie physique, il se trouve qu’elle a la taille d’un paquet moléculaire.

Donc, nous devons être très clairs et nous assurer de ne pas tomber dans leur jeu parce que leur jeu est le suivant : si nous en parlons comme d’un vaccin, nous allons entrer dans une conversation sur les vaccins.

Seulement, ce n’est pas de leur propre aveu, un vaccin…. »

Rocco Galati

«  Donc Judy… »

David Martin

« … En conséquence, il doit être clair pour tous ceux qui écoutent que nous ne tomberons pas dans le piège de cette définition erronée tout comme nous ne tomberons pas dans leur définition « chimico-industrielle » de la santé car toutes deux sont fonctionnellement erronées et constituent une violation explicite de la structure juridique qui est exploitée. »

Rocco Galati

« Bon, alors, Judy, en tant que scientifique ici, pourriez-vous résumer cela en anglais pour un non-initié. Je comprends votre explication, David, et c’est superbe. Mais pour ceux qui ne sont pas en mesure de suivre cette très intelligente analyse ; et ce n’est pas une insulte, David, je… »

 David Martin

« Oh non, je suis juste frustré quand j’entends des militants, des avocats et tous les autres dire : « Nous allons combattre le vaccin » ».
En effet, si vous dites que c’est un vaccin, alors vous avez déjà perdu la bataille puisque ce n’est pas un vaccin. »

Rocco Galati

« Alors, comment devrais-je le définir ?
Comme un agent chimique ou… ? »

Judy A. Mikovits

« Correct, c’est un pathogène synthétique. Ils ont littéralement injecté quelque chose de synthétique, la partie très contagieuse du virus dans les cellules du corps. »

Rocco Galati

« Et vous dites qu’un agent pathogène qui n’est que pour moi…, va me contaminer et me rendre malade ? »

Judy A. Mikovits

« Correct, donc… »

David Martin

« Rocco, Rocco, rappelez-vous que 80% des personnes soi-disant exposées au soi-disant SARS-CoV2 ; bon, n’entrons pas là-dedans ; mais bon, 80% des personnes qui sont exposées au prétendu virus ne présentent aucun symptôme, on les appelle « porteurs asymptomatiques ».
80% des personnes qui se font injecter cette substance subissent un événement clinique indésirable. »

Judy A. Mikovits

« Correct. »

Rocco Galati

« Oui. »

David Martin

«  On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie et non pour induire une réponse immunitaire contre la transmission.
En d’autres termes, rien de tout cela ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit.
Il s’agit de vous rendre malade et que vos propres cellules soient la chose qui vous rende malade. »

Judy A. Mikovits

« Correct. »

Rocco Galati

« Donc cela va déclencher une réponse auto-immune ? »

Judy A. Mikovits

« Cela peut et… »

David Martin

« Parmi beaucoup d’autres choses. »

Judy A. Mikovits (qui confirme)

« Parmi beaucoup d’autres choses.
Cela peut, en effet, directement causer la sclérose en plaques, la maladie de la Ligurie, la maladie d’Alzheimer car c’est ce que l’expression de cette enveloppe pathogène…, cela peut provoquer un cancer accéléré.
C’est le résultat de l’expression de ce morceau de virus, ce seul incident ; cette expression est connue depuis des décennies.
Vous avez littéralement injecté la maladie. »