Une nouvelle étude d’origine française soumise (pre-print) au British Medical Journal met en évidence les coûts disproportionnés du confinement en termes sociaux, économiques et humains, dénonce une « escroquerie sanitaire » et pointe la responsabilité de l’OMS.

« En médecine : le confinement n’existe pas. Il n’existe pas en infectiologie, en épidémiologie ou en santé publique. Il est d’ailleurs inédit dans l’histoire de la médecine et de l’humanité ! Il est donc nécessaire de revenir à la raison et de pratiquer la médecine du 21ème siècle.[…] »

« Rien ne prouve que la Chine ait « aplani » la courbe épidémique grâce au confinement. Dire que la Chine a réduit le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie grâce à l’enfermement est un pur mensonge et ne repose sur aucune preuve (…), car personne n’est en mesure de donner le nombre de cas ou de décès en Chine si elle n’avait pas appliqué de confinement[…] »

« Quels sont les risques, les dangers et les conséquences catastrophiques pendant et après l’enfermement ?

  • Suicides de personnes, comme cela a été signalé en Chine et a déjà commencé dans de nombreux pays.
  • Développement de pathologies psychiatriques.
  • Paralysie du parcours scolaire des élèves et étudiants à l’université.
  • Impacts négatifs et dangers sur les animaux.
  • Négligence d’autres maladies (en particulier les maladies chroniques) et augmentation de leur mortalité.
  • Augmentation des violences domestiques.
  • Pertes économiques, chômage et crise économique majeure : cela va également interrompre le flux de financement nécessaire à l’équipement des hôpitaux. En outre, peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13 000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord.
  • Sérieuses conséquences pour l’agriculture.
  • Déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de guerre.[…]

https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/06/Facing-COVID-19-by-the-confinement.pdf

https://covidinfos.net/covid19/le-confinement-est-veritablement-lescroquerie-sanitaire-du-xxie-siecle-selon-une-etude-qui-souligne-la-responsabilite-de-loms/1223/