Europe 15 mai 2021 : 222.071 réactions d’effets secondaires et 2308 MORTS suite à l’injection d’Astrazeneca.
Source – Agence européenne des médicaments ( Mode d’emploi de l’association Réinfocovid pour y trouver les informations)

Table des matières

  1. Quelles infos officielles avons-nous sur ce vaccin ?
  2. Comment fonctionne cette nouvelle technologie de vaccin OGM et est-elle dangereuse ?
  3. Que contient ce vaccin ?
  4. Où en sont les essais cliniques de ce vaccin ?
  5. Qui est responsable des effets secondaires éventuels ?
  6. Quels sont les effets secondaires/ décès déjà observés en Belgique et dans le monde ?
  7. Qui finance la campagne de vaccination astrazeneca ?
  8. Quelle confiance accorder à la compagnie pharmaceutique astrazeneca ?

1 – Quelles infos officielles avons-nous sur le vaccin ?

Une serie d’informations ont été rendues par le CHMP (Committee for Medicinal Products for Human Use),  le 29 janvier 2021, en attente d’approbation par la Commission européenne. Des informations ont été aussi transmises par l’European Union Risk Management Plan, le 4 novembre 2020.
– Dossier d’informations du CHMP
– Dossier d’informations European Union Risk Management Plan

Que peut-on constater après lecture des dossiers officiels ?

  • un certains nombre de tests n’ont pas été faits : aucune étude d’interaction avec d’autres médicaments n’a été réalisée. L’administration concomitante du vaccin astrazeneca avec d’autres vaccins n’a pas été étudiée. Il existe une expérience limitée de l’utilisation du vaccin astrazeneca chez les femmes enceintes. Les études de toxicité pour la reproduction animale n’ont pas été achevées. On ignore si le vaccin astrazeneca est excrété dans le lait maternel.
  • inconnue sur les effets à moyen/long terme
  • Enfants et adolescents : le vaccin astraZeneca n’est pas recommandé aux enfants de moins de 18 ans.

2 – Comment fonctionne cette nouvelle technologie de vaccin OGM et est-elle dangereuse ?

  • Pour plus d’infos, lire la note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM, par le Dr Christian VELOT, généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay, Président du Conseil scientifique du CRIIGEN : Note d’expertise
  • Extrait : page 9 – Le recours à des vaccins délivrant du matériel génétique viral (ADN ou ARN) est nouveau ou récent. L’utilisation de virus génétiquement modifiés comme vecteurs, notamment à des fins de thérapie génique ou d’immunothérapie a montré à quel point les effets indésirables sont variés, non maitrisés et peuvent être graves.
  • Si les tentatives de l’immunothérapie sont relativement récentes, les échecs de la thérapie génique depuis près de 35 ans sont là pour nous le rappeler. Ces échecs s’expliquent en grande partie par la recherche du scoop au détriment de l’efficacité et/ou la biosécurité. Une telle démarche ne permettra jamais de répondre à l’attente et aux besoins en terme de soin.
  • Mais l’utilisation de ces mêmes vecteurs à des fins de vaccination revêt encore une autre dimension. En effet, la thérapie génique ou l’immunothérapie concernent non seulement un nombre limité de personnes mais des personnes gravement malades. Par conséquent, non seulement les éventuels effets secondaires concernent un nombre restreint d’individus mais la gravité de leur état de santé et la situation d’urgence sanitaire dans laquelle ils se trouvent permet sans doute d’accepter une certaine prise de risques.
  • Dans le cas de vaccins, nous sommes dans une démarche de prévention. Cela concerne donc un nombre considérable de personnes dont la grande majorité est en bonne santé (en tout cas vis-à-vis de la pathologie de laquelle le vaccin est censé nous protéger).
  • Des effets secondaires non maitrisés auraient donc des retombées considérables, surtout dans une campagne de vaccination de masse telle que celle destinée à lutter contre la Covid-19.
  • Ces retombées pourraient être désastreuses sur le plan sanitaire bien sûr mais également sur le plan environnemental (dans le cas par exemple de la propagation de nouveaux virus recombinants : voir section IV.3.1.). Et le fait qu’il s’agisse d’une démarche de prévention n’autorise aucune prise de risque.

3 – Que contient le vaccin ?

Il utilise un virus destiné à transporter des gènes de coronavirus dans les cellules humaines et à déclencher une réponse immunitaire qui protégera les personnes contre le coronavirus. Ce soi-disant vecteur est une forme modifiée d’adénovirus qui provoque le rhume chez les chimpanzés. Plusieurs autres sociétés, dont Johnson & Johnson et CanSino, poursuivent des approches similaires basées sur les adénovirus, bien qu’il existe différents types d’adénovirus et que les ingrédients spécifiques diffèrent d’un vaccin à l’autre.

Une dose (0,5 ml) de vaccin astrazeneca contient : adénovirus de chimpanzé codant pour la glycoprotéine de pointe du SARS-COV-2 (ChAdOx1-S) produit dans des cellules#000000 de rein embryonnaire humain (HEK) 293 génétiquement modifiées et par la technologie de l’ADN recombinant. Ce produit contient des organes génétiquement modifiés (OGM)

  • Les excipients pour incorporer les principes actifs sont : l-histidine, hydrochloride monohydrate, magnesium chloride, hexahydrate, polysorbate 80, ethanol, sucrose, sodium chloride, disodium edelate dhydrate, eau pour les injections

4 – Où en sont les essais cliniques du vaccin ?

De nombreux pays ont suspendu la vaccination suite à des décès et effets secondaires graves.
D
es chercheurs norvégiens ont établi  un lien avec des thromboses !
Mais
la directrice (voir ci-dessous)* de l’Agence Européenne des Médicaments annonce que le vaccin est sûr et que ses avantages vont bien au-delà des risques potentiels alors que la phase de test est toujours en cours jusqu’en février 2023.

* Emer Cooke a travaillé à l’Association européenne des groupes pharmaceutiques à Bruxelles qui est le principal lobby de l’industrie pharmaceutique auprès de l’Union européenne. Cette Association européenne des groupes pharmaceutiques (EFPIA) comprend des géants du secteur, comme GlaxoSmithKline, Pfizer, Eli Lilly, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Novartis et Sanofi.

Sources :
18/03/2021 – le journal “Le Monde” annonce que des chercheurs norvégiens établissent un lien entre le vaccin astrazeneca et les thromboses : https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/18/des-chercheurs-norvegiens-etablissent-un-lien-entre-le-vaccin-astrazeneca-et-les-thromboses_6073617_3244.html
Le médecin en chef et professeur Pål Andre Holme a trouvé le lien entre le vaccin astrazeneca et des thromboses pouvant mener à la mort : https://www.vg.no/nyheter/innenriks/i/QmwR1V/professor-om-mistenkte-vaksinebivirkninger-aarsaken-er-funnet?fbclid=IwAR3LFTPrIZzU5RKoahxCbkzZ_c6LGHhlpaOfh-gsNkmYUyaTWe0Mcvthiqc
11/03/2021
https://www.lesoir.be/360251/article/2021-03-11/vaccin-astrazeneca-suspendu-dans-plusieurs-pays-frank-vandenbroucke-rassure?fbclid=IwAR0n4zsM2m8njMXQWRJ96CAI31Fb5-Mjc7DAkern4v7QdW9Of8F5vFucU6g

Les tests cliniques  sont toujours en cours jusqu’en 2023 !

  • Les phases 1 et 2 des essais cliniques sur le vaccin astrazeneca sont toujours en cours jusqu’au 10 novembre 2021 : https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04568031
  • La phase 3 sera terminée le 13 février 2023 : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04516746
  • Les experts craignent que l’entreprise astrazeneca n’ait pas fait preuve de transparence au sujet de deux participantes qui sont tombés gravement malades après avoir testé ce vaccin expérimental en avril 2020 en Grande-Bretagne, en raison du refus de la société de fournir des détails sur leur maladie neurologique grave.

Quelques détails ont été publiés : la première participante a reçu une dose du vaccin avant de développer une inflammation de la moelle épinière, connue sous le nom de myélite transverse. La 2ème personne a aussi développé une myélite transverse. Cette maladie peut causer une faiblesse des bras et des jambes, une paralysie, des douleurs et des problèmes intestinaux et vésicaux. Les essais ont été arrêtés puis repris sans aucune justification.

Source : https://www.nytimes.com/2020/09/19/health/astrazeneca-vaccine-safety-blueprints.html

Comment des autorisations ont-elles pu être données pour vacciner les citoyens belges alors que les tests sur ces vaccins ont donné des résultats douteux et sont encore toujours en cours ??

5 – Qui est responsable des effets secondaires éventuels ?

Astrazeneca, comme les autres fabricants de vaccins, a obtenu une exemption légale de responsabilité et sera indemnisée en Europe si son vaccin contre le covid provoque des effets secondaires inattendus !

Source : https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-eu-vaccine

6 – Quels sont les effets secondaires/ décès déjà observés en BELGIQUE et à l’ETRANGER ?

  • Toutes les infos pour la Belgique : ici
  • Toutes les infos pour l’étranger : ici

7 – Qui finance la campagne de vaccination ?

  • 2 milliards de doses du vaccin contre le covid ont été produites par AstraZeneca après un accord de 750 millions de dollars avec des organisations caritatives, la CEPI et Gavi, toutes deux soutenues par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’Organisation mondiale de la santé, entre autres.
  • L’accord de 750 millions de dollars avec CEPI et Gavi a permis de financer la fabrication, l’approvisionnement et la distribution de 300 millions des 2 milliards de doses !

Source : https://www.businessinsider.com/bill-gates-backing-boosts-2-billion-doses-astrazeneca-coronavirus-vaccine-2020-6?IR=T&fbclid=IwAR1AyiVy6DjsHw6X1FNkT8SdDtu4oB-ofOoGq3szSlNfLTEnIiS4u0YzW7Q

8 – Quelle confiance accorder à la société Astrazeneca ?

Savez-vous qu’Astrazeneca a marqué sa longue vie de scandales et de condamnations ? Voici quelques controverses, condamnations et affaires les plus emblématiques.

  • 07/08/2018 : la société Astrazeneca a accepté de verser 110 millions de dollars à l’État du Texas pour régler des poursuites alléguant que la société avait commercialisé deux de ses médicaments de manière fausse et trompeuse, en violation de la loi texane sur la prévention des fraudes à Medicaid. AstraZeneca aurait fait la promotion d’un médicament antipsychotique puissant et potentiellement dangereux auprès des prestataires Medicaid du Texas, qui traitaient principalement des enfants et des adolescents, alors que ces médicaments n’étaient pas approuvés comme sûrs et efficaces pour cette population vulnérable. Le bureau du procureur général Paxton a accusé Astrazeneca d’avoir versé des centaines de milliers de dollars en paiements illégaux à deux anciens médecins d’hôpitaux publics pour influencer indûment l’utilisation du Seroquel dans le système hospitalier public.
    Source : https://www.texasattorneygeneral.gov/news/releases/ag-paxton-recovers-110-million-texas-medicaid-fraud-settlements
  • 19/01/2013 : la société Astrazeneca a eu une amende de 53 millions d’euros. Le comportement prétendument abusif d’Astrazeneca a consisté à avoir communiqué à certains offices nationaux de brevets, comme date correspondant à la date de la première autorisation de mise sur le marché en Europe, une date postérieure à celle de la première autorisation de mise sur le marché obtenue en France pour le médicament Losec, médicament de marque d’Astrazeneca à base d’oméprazole.
    Source : https://www.ipinitalia.com/antitrust-issues/la-decisione-della-corte-di-giustizia-nel-caso-astrazeneca
  • 20/06/2003 : la société Astrazeneca plaide coupable pour un délit dans le domaine de la santé. Elle accepte de payer 355 millions de dollars pour régler les accusations criminelles et les responsabilités civiles liées à ses pratiques en matière de prix et de marketing des médicaments concernant le Zoladex, utilisé principalement pour le traitement du cancer de la prostate. Astrazeneca a plaidé coupable d’avoir conspiré pour violer la Prescription Drug Marketing Act (“PDMA”) en faisant soumettre des demandes de paiement pour la prescription de Zoladex qui avait été fourni sous forme d’échantillons gratuits à des urologues.
    Source : https://www.justice.gov/archive/opa/pr/2003/June/03_civ_371.htm